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dididi.jpgS’il y a bien un rendez-vous incontournable pour moi chaque année, c’est celui-ci : ce Festival du Cinéma Américain de Deauville qui a exacerbé ma passion pour le cinéma, l’a transformée en doux mal incurable, il y a tant d’années déjà (je préfère ne plus les compter). Je l’ai expérimenté (et savouré) d’une multitude de manières, adolescente comme simple public d’abord (peu importaient les files d’attente –jusqu’à 5h !- ce fut l’occasion de créer des amitiés cinéphiles) mais aussi, comme jurée cinéphile (il y a 12 ans déjà !), accréditée public, vip, presse (peu importe d’ailleurs, quel que soit le statut, le festival est très accessible et permet une vraie immersion cinématographique)…mais toujours et depuis la première fois en restant tout le festival pour en avoir une vue aussi exhaustive que possible.

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Chaque fois, ce furent de belles découvertes cinématographiques (quelle bonne idée que d’avoir institué la compétition de films indépendants en 1995, l’occasion de découvrir tant de pépites que je vous fais chaque année partager ici), de passer des films indépendants aux derniers blockbusters, de voir des monstres sacrés du cinéma américain (dont certains sont les responsables non coupables des prémisses de ma passion pour le cinéma comme Kirk Douglas ou Lauren Bacall), d’apprendre et de s’enrichir avec les master class, et puis de rêvasser en arpentant les planches dont la mélancolie joyeuse et envoûtante ne me lasse jamais. Et s’il est de bon ton d’être blasée, je revendique d’y aller chaque année, avec la même curiosité et le même enthousiasme, cette année plus que jamais.

Il y a eu des éditions plus ou moins calmes. Quoiqu’il en soit, le Festival est toujours et plus que jamais la vitrine du cinéma indépendant américain (et se revendique plus que jamais comme tel cette année en mettant un film en compétition, « Robot and Frank » en ouverture), même si certains furent déçus de découvrir moins d’avant-premières et d’hommages prestigieux, ces 4 dernières années. Annonçons-le d’emblée : cette programmation 2012 devrait ravir tout le monde, les cinéphiles comme les simples amateurs de cinéma de pur divertissement, ceux qui veulent voir des stars et ceux qui veulent découvrir les dernières pépites du cinéma indépendant américain. Ce programme est le meilleur depuis plusieurs années et allie et concilie judicieusement films indépendants alléchants, avant-premières de grosses productions très attendues, hommages variés et prestigieux, sans oublier un jury éclectique, glamour et cinéphile.

Deauville tellement liée à ma passion pour le cinéma, ses prémisses autant que son exacerbation; où les dédales de mon existence ont pris un autre chemin et finissent toujours par me ramener: aujourd’hui encore. Depuis 1994, le rendez-vous est délicieusement immuable pour moi. Que de souvenirs engrangés ! Deauville c’est Hollywood et Sundance à la fois, depuis l’instauration de la compétition de films indépendants en 1995. Ce sont les blockbusters et les films indépendants. Deauville, c’est un tapis rouge auquel sied mieux le noir et blanc nostalgique. Terre de contrastes et paradoxes. C’est Al Gore qui vient présenter son sidérant  documentaire contre le réchauffement climatique et dire des « vérités qui dérangent ». Ce sont aussi les films au dénouement desquels flotte glorieusement et insolemment la bannière étoilée. Deauville, c’est la discrétion et la tonitruance. C’est Cannes sans l’exubérance. C’est le luxe avec la convivialité. Ce sont les premiers balbutiements de jeunes cinéastes et la consécration de leurs aînés. C’est Kirk Douglas qui marche difficilement mais non moins majestueusement sur la scène du CID. C’est James Coburn et son flegme légendaire qui envoûtent le Salon des Ambassadeurs. C’est Laurent Bacall qui vient accompagnée de Nicole Kidman. Le cinéma d’hier y côtoie celui d’aujourd’hui et l’un et l’autre s’enrichissent mutuellement. Deux époques se rencontrent, deux Amérique aussi.  C’est ainsi Gus Van Sant qui vient présenter « Gerry », la quintessence du film indépendant, non moins sublime. C’est aussi Sylvester Stallone qui vient présenter son dernier film. C’est un festival qui satisfait à la fois les amateurs de cinéma d’action et les cinéphiles les plus exigeants, les spectateurs et les « professionnels de la profession ». Ce sont James Ellroy, Meryl Streep, Geena Rowlands ou tant d’autres qui stupéfient l’assistance lors de mémorables conférences de presse. C’est Cyd Charisse qui esquisse quelques pas de danse sur la scène du CID. Ce sont des soirées interminables à refaire le monde du cinéma sous les étoiles dans la villa Canal plus-Orange-Cartier, selon les époques et les sponsors, et pas seulement les étoiles de la bannière. C’est Paul Haggis qui y gagne ses premiers galons de réalisateur en remportant le grand prix du festival avec « Collision ». Ce sont Steve Buscemi ou Charlie Kaufman qui y donnent de passionnantes leçons de cinéma. C’est Joel Grey qui entonne avec grâce quelques notes dans un CID silencieusement attentif. C’est le charismatique Al Pacino qui ne peut retenir ses larmes d’émotion, instant inoubliable.  Ce sont les applaudissement effrénés pendant la projection de « Tigre et Dragon » d’Ang Lee. Ce sont Clint Eastwood, Tom Hanks, Morgan Freeman, Harrison Ford, Steven Spielberg, Sydney Pollack et tant d’autres prestigieux invités habitués des Planches. C’est la présence d’un trio inoubliable et inégalable : Spielberg-Lucas-Coppola. Ce sont Tom Di Cillo, Jonathan Nossiter, Karyn Kusama, John Cameron Mitchell… qui ont vu leurs films présentés en compétition officielle, couronnés.   Ce sont les derniers feux de l’été, souvent les plus brillants et intenses, qui auréolent les Planches d’une luminosité incomparable comme sortie d’un songe d’une nuit d’été. Deauville, c’est ainsi aussi le prix Michel d’Ornano qui récompense le meilleur traitement de scénario de long-métrage d’un jeune scénariste français. C’est encore le Panorama,  et le prix littéraire.  Ce sont aussi les hommages qui ont amené à Deauville les plus grands noms du cinéma américain. C’étaient auparavant des courts-métrages de grande qualité dont on peut regretter la disparition de la compétition il y a quelques années et dont nous espérons le retour. Ce sont désormais les Docs de l’Oncle Sam pour découvrir un autre Amérique. Ce sont les Nuits Américaines pour bercer nos journées et nuits de classiques du cinéma américain. Depuis 3 ans ce sont aussi les séries américaines.

Je vous encourage donc à venir à Deauville et à vous laisser conquérir par un cinéma différent,  à faire les Christophe Colomb du septième art, découvreurs de l’Amérique, d’une autre Amérique parfois, blessée et moins insolente, ou à défaut, j’espère  vous faire vivre ce festival comme si vous y étiez.

 Vous retrouverez ci-dessous le programme, particulièrement riche et diversifié, dans ses grandes lignes, ainsi que de nombreuses informations pratiques. Vous pourrez suivre le festival en direct, de l’ouverture à la clôture, sur mon blog consacré au festival http://www.inthemoodfordeauville.com , comme chaque année. Vous pouvez également, en attendant, retrouver mon bilan complet du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2011, en cliquant ici, vous y retrouverez notamment ce petit moment de magie qui caractérise les festivals, totalement imprévisible, grâce à Tony Kaye et sa guitare… Et, enfin, avant de vous livrer et commenter le programme 2012, je vous renvoie vers mes critiques de classiques du cinéma américain actuellement à l’honneur à l’occasion de ce Festival de Deauville : « Sur la route de Madison« , « Johnny Guitar« , « La Comtesse aux pieds nus« , « Casablanca » , « Gatsby le magnifique, « La Fièvre dans le sang ».

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LES MEMBRES DES 2 JURYS

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Nous savions déjà que le jury longs-métrages serait présidé par la comédienne et désormais réalisatrice SANDRINE BONNAIRE (Et quelle réalisatrice ! Je ne saurai trop vous recommander son documentaire « Elle s’appelle Sabine » mais aussi son premier long-métrage de fiction « J’enrage de son absence », un film bouleversant entre drame familial et thriller qui met des images sur la douleur indicible de l’absence filmée avec une rage à la fois douce et âpre, un film dont vous pouvez retrouver ma critique ici) et que le jury Révélation Cartier serait présidé par FREDERIC BEIGBEDER (journaliste, écrivain, réalisateur, publicitaire…et cinéphile, chaque année par ailleurs membre du jury du prix littéraire du festival).

Aux côtés de Sandrine Bonnaire, dans le jury longs-métrages, nous retrouverons :

SAMI BOUAJILA – Comédien

CLOTILDE COURAU – Comédienne

PHILIPPE DECOUFLÉ – Danseur, chorégraphe, metteur en scène, directeur artistique et réalisateur

ANAÏS DEMOUSTIER – Comédienne

CHRISTOPHE HONORÉ – Réalisateur, scénariste, metteur en scène et écrivain

JOANN SFAR – Réalisateur et dessinateur de bandes dessinées (Cliquez ici pour lire ma critique de « Gainsbourg, vie héroïque », un film que je vous recommande vivement)

FLORENT EMILIO SIRI – Réalisateur et scénariste  (Cliquez ici pour lire ma critique de « Cloclo » réalisé par ce dernier)

ALICE TAGLIONI – Comédienne

Concernant le jury Révélation Cartier, Frédéric Beigbeder sera entouré de :

Astrid BERGÈS-FRISBEY –Comédienne

Mélanie BERNIER – Comédienne

Ana GIRARDOT – Comédienne

Félix MOATI – Comédien

HOMMAGES ET RECOMPENSES

C’est ce qui, au départ, a contribué à la renommée du Festival du Cinéma Américain de Deauville, ces hommages à des grands du 7ème art américain dont les noms sont désormais immortalisés sur les planches. Certains furent plus mémorables que d’autres mais ce sont toujours des moments émouvants, l’occasion aussi de retracer des carrières plus ou moins longues, et désormais aussi de mettre en lumière de jeunes talents avec « le  Nouvel Hollywood » institué l’an passé. Après Ryan Gosling et Jessica Chastain, l’an dernier, la récompense 2012 sera attribuée à l’acteur PAUL DANO, en sa présence. Il sera aussi à Deauville pour le film « Elle s’appelle Ruby » dont je vous parle plus bas.

Le festival pouvait difficilement faire mieux et plus diversifié en matière d’hommages cette année puisqu’il rendra également hommage au comédien LIAM NEESON (en sa présence) renouant avec les hommages de stars américaines sans compter qu’une autre star du cinéma américain, le comédien HARVEY KEITEL sera également à l’honneur (le soir de l’ouverture) ainsi que la comédienne SALMA HAYEK, les cinéastes WILLIAM FRIEDKIN et MELVIN VAN PEEBLES, le compositeur JOHN WILLIAMS (compositeur de musiques de films parmi les plus célèbres, et notamment des musiques de films de Spielberg). Parmi ses dernières compositions figure la musique de« Cheval de guerre » de Spielberg dont vous pouvez retrouver ma critique, ici.

A l’occasion des hommages que le festival rendra à John Williams et Liam Neeson, je vous propose de retrouver la critique du film qui les a réunis: « La Liste de Schindler » de Steven Spielberg » en cliquant ici.

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Le PRIX MICHEL D’ORNANO sera cette année attribué à « RENGAINE », un film écrit et réalisé par Rachid Djaïdani.

Le PRIX LITTERAIRE LUCIEN BARRIÈRE sera cette année décerné à « PERCIVAL EVERETT » pour son roman « Pas Sidney Poitier ».

COMPETITION

Compliance : affiche

Chaque année, je m’efforce de ne manquer aucun des films de la compétition. Nombreux sont les cinéastes aujourd’hui reconnus à avoir été révélés suite à leur sélection dans cette section, magnifique « vitrine » du cinéma indépendant américain. Cette année, au programme de cette compétition (particulièrement riche et attractive), 15 longs-métrages dont « Les Bêtes du Sud sauvage » qui avait fait sensation à Cannes (où je l’avais malheureusement manqué, l’occasion idéale de pouvoir le rattraper) où il avait obtenu la Caméra d’or. Vous y découvrirez aussi « The we and the I » de Michel Gondry. Une belle sélection sur laquelle je reviendrai ultérieurement plus en détails. C’est d’ailleurs un film en compétition qui fera cette année l’ouverture : « Robot and Frank » de Jake Schreier, en remplacement de « Mud » initialement prévu.

BEASTS OF THE SOUTHERN WILD de Benh Zeitlin

BOOSTER de Matt Ruskin

CALIFORNIA SOLO de Marshall Lewy

COMPLIANCE de Craig Zobel

ELECTRICK CHILDREN de Rebecca Thomas

FOR ELLEN de So Yong Kim

FRANCINE de Brian M. Cassidy & Melanie Shatzky

GIMME THE LOOT d’Adam Leon

GOD BLESS AMERICA de Bobcat Goldthwait

ROBOT and FRANK de Jake Schreier (film d’ouverture)

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SMASHED de James Ponsoldt |

UNA NOCHE de Lucy Mulloy

THE WE AND THE I de Michel Gondry

YOUR SISTER’S SISTER de Lynn Shelton

WRONG de Quentin Dupieux

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PREMIERES

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Nous savions déjà que le dernier volet des Jason Bourne serait projeté à Deauville (comme les précédents), voilà qui promet une belle effervescence. Nous aurons aussi le plaisir de retrouver Jonathan Dayton et Valerie Faris qui avaient enthousiasmé les festivaliers et le jury avec « Little Miss sunshine », d’ailleurs récompensé à Deauville. Un film présenté à Cannes, en compétition, figure également au programme : « Lawless » de John Hillcoat (un western de facture classique mais très maitrisé, je vous le recommande) .

Nous aurons également le plaisir de découvrir « Savages » d’Oliver Stone en CLÔTURE avec un très beau générique parmi lequel Salma Hayek à qui le festival rendra également hommage mais aussi : Aaron Johnson, Taylor Kitsch, Blake Lively, John Travolta, Benicio del Toro, Emile Hirsch, Demian Bichir.

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BACHELORETTE de Leslye Headland

THE BOURNE LEGACY (JASON BOURNE : L’HÉRITAGE) De Tony Gilroy

DEADFALL (BLACKBIRD) de Stefan Ruzowitzky

KILLER JOE de William Friedkin

LAWLESS (DES HOMMES SANS LOI) de John Hillcoat

  MUD de Jeff Nichols

RUBY SPARKS (ELLE S’APPELLE RUBY) de Jonathan Dayton & Valerie Faris

SAVAGES d’Oliver Stone

THE TALL MAN (THE SECRET) de Pascal Laugier

SECRET OF THE WINGS (CLOCHETTE ET LE SECRET DES FÉES) de Peggy Holmes – Séance Enfants – Film diffusé dans sa version française

TAKEN 2 d’Olivier Megaton

TAKE THIS WALTZ de Sarah Polley

TED de Seth MacFarlane

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MASTERCLASS et Leçons de cinéma

Le festival proposera aussi une série de Masterclass :

– « De l’influence de Jean-Pierre Melville sur le cinéma américain »  qui aura lieu le jeudi 6 septembre 2012, salle Lexington, au CID. Une masterclass que je ne manquerai pas, inconditionnelle du cinéma de Melville. Retrouvez ma critique de son chef d’œuvre (l’un de ses chefs d’œuvre, plutôt), « Le Samouraï », ici :  http://inthemoodlemag.com/2012/07/26/masterclass-de-l%e2%80%99influence-de-jean-pierre-melville-sur-le-cinema-americain-festival-de-deauville-2012-critique-le-samourai/

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Leçon de cinéma de William Friedkin, le 2 septembre, salle Lexington : Dans le cadre de l’hommage au réalisateur William Friedkin, le Festival propose à tous ceux qui le souhaitent d’assister à une leçon de cinéma animée par Jean-François Rauger, directeur de la programmation de la Cinémathèque française.

-Masterclass « Take shelter », le 7 septembre 2012, en salle Lexington  une masterclass autour de l’analyse filmique de TAKE SHELTER de Jeff Nichols, Grand Prix du Festival l’année dernière, lors d’une conférence animée par David McKenna, et initiée en collaboration avec l’ESRA.
La masterclass portera sur l’utilisation des fondamentaux de la structure narrative par le réalisateur pour traduire les thématiques et les émotions intimes des personnages en de convaincantes actions dramatiques.

LES DOCS DE L’ONCLE SAM

Cette section réserve aussi très souvent de belles surprises… Laissez-vous surprendre et aiguisez votre curiosité par ce qui est bien souvent une plongée dans une autre Amérique, et pas seulement:

DIANA VREELAND: THE EYE HAS TO TRAVEL de Lisa Immordino Vreeland

ETHEL de Rory Kennedy

FAR OUT ISN’T FAR ENOUGH: THE TOMI UNGERER STORY de Brad Bernstein

GAZZARA de Joseph Rezwin

METHOD TO THE MADNESS OF JERRY LEWIS de Gregg Barson

ROOM 237 de Rodney Ascher

SEARCHING FOR SUGAR MAN de Malik Bendjelloul

THE IMPOSTER de Bart Layton

THE QUEEN OF VERSAILLES de Lauren Greenfield

WEST OF MEMPHIS d’Amy Berg

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INTO THE ABYSS de Werner Herzog a également été ajouté à la sélection

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Les séries reviennent également avec, au programme :

HOMELAND SAISON 1 (EPISODES PILOT) ET GRACE | GIRLS SAISON 1 (EPISODES PILOT) / VAGINA PANIC/ THE NEWS ROOM

NUITS AMERICAINES

Le meilleur du cinéma américain et de ses classiques continuera à être programmé 24H sur 24H. Une excellente idée que de poursuivre cette belle initiative pour les cinéphiles insomniaques.

BAD LIEUTENANT   de Abel Ferrara

BANDIDAS   de Joachim Ronning  | Espen Sandberg

BUG  de William Friedkin

CœURS PERDUS  de Todd Robinson

CINQ CENT BALLES  de Melvin Van Peebles

CRUISING – LA CHASSE  de William Friedkin

DESPERADO  de Robert Rodriguez

FREAKS – LA MONSTRUEUSE PARADE  de Tod Browning

FRENCH CONNECTION  de William Friedkin

LA FÊTE A HARLEM  de Melvin Van Peebles

LA GUERRE DES MONDES  de Steven Spielberg  | Damian Collier

LA LISTE DE SCHINDLER de Steven Spielberg

LE DERNIER SAMOURAÏ de Edward Zwick

LOST HIGHWAY  de David Lynch

LOVE ACTUALLY  de Richard Curtis

L’EXORCISTE  de William Friedkin

MEAN STREETS  de Martin Scorsese

MICHAEL COLLINS  de Neil Jordan

MISSION IMPOSSIBLE  de Brian De Palma

POLICE FÉDÉRALE LOS ANGELES de William Friedkin  | Irving H. Levin

REFLETS DANS UN œIL D‘€™OR de John Huston

RESERVOIR DOGS  de Quentin Tarantino

SWEET SWEETBACK’S BAADASSSSS SONG  de Melvin Van Peebles

VANILLA SKY de Cameron Crowe

 

CARTE BLANCHE A AGNES b.

Après Jean-Charles de Castelbajac, cette année le Festival donnera carte blanche à Agnès b. qui nous proposera de redécouvrir :

SEVEN CHANCES (Fiancées en folie) de Buster Keaton (1925) |

FREAKS de Tod Browning (1932) |

REFLECTIONS IN A GOLDEN EYE (Reflets dans un oeil d’or) de John Huston (1967)

THE BIG SHAVE de Martin Scorsese (1968)

RESERVOIR DOGS de Quentin Tarantino (1992) LOST HIGHWAY de David Lynch (1997)

TRASH HUMPERS d’Harmony Korine (2010)

SÉANCE CULTE

Une « séance culte » s’ajoute cette année au programme : MONDWEST (WESTWORLD) de Michael Crichton.

INFORMATIONS PRATIQUES

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Retrouvez  et téléchargez la grille des horaires du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012 en cliquant ici.

Vous pouvez réserver vos pass sur http://badgecid.com mais aussi en gagner sur mes blogs (http://inthemoodforfilmfestivals.com/concours-gagnez-vos-…  ) ou sur la page Facebook officielle du Festival.

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Pour le logement et les restaurants, je vous donne également de nombreux conseils ici: http://www.inthemoodfordeauville.com/archive/2011/08/21/h… .

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Sur http://www.inthemoodfordeauville.com, vous trouverez également tout ce que vous voulez savoir sur Deauville ainsi que sur le site de l’office de tourisme et de la mairie.

POUR EN SAVOIR PLUS- LIENS:

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Site officiel du Festival : http://www.festival-deauville.com

Page Facebook officielle du Festival : https://www.facebook.com/Festival.Cinema.Americain.Deauvi…

Site officiel du CID :  http://www.congres-deauville.com/

Suivez les comptes officiels du festival sur twitter : @lpscinema et CID_Deauville

Pour de nombreuses informations exclusives et pratiques et pour me suivre en direct du festival, ou participer à mes concours et gagner des pass, pour retrouver mes articles etc , vous pouvez aussi me suivre sur twitter , sur mon compte twitter consacré au festival ( @moodfdeauville ), sur mon compte principal (@moodforcinema ) et sur celui de mon nouveau blog consacré aux festivals de cinéma sur lequel Deauville est à l’honneur : http://inthemoodforfilmfestivals.com ( @moodforfilmfest) .

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J’ai également écrit un recueil de nouvelles romantiques et cruelles sur les festivals de cinéma sélectionné et ouvert à l’édition participative et dans lequel figurent plusieurs nouvelles sur Deauville. Pour en savoir plus, c’est ici: http://inthemoodlemag.com/2012/06/19/mon-recueil-de-nouve…. Pour soutenir le projet, c’est là: http://www.bookly.fr/content/projet/ombres-parall%C3%A8le… . Et vous pouvez aussi le suivre sur Facebook (http://Facebook.com/ombresparalleles) et sur twitter (@parallelshadows) .

Enfin, j’ai créé une page Facebook consacrée au Festival de Deauville : http://facebook.com/inthemoodfordeauville sur laquelle vous pourrez débattre du festival.

Je vous donne rendez-vous quotidiennement sur http://www.inthemoodfordeauville.com pour de nombreuses informations sur le festival en attendant que vous puissiez m’y suivre en direct du 31 août au 9 septembre 2012 .

Bon festival à tous en espérant qu’il sera cette année à l’image de son affiche (une invitation au voyage, au partage, à l’évasion) !

Découvrez les 6 blogs « in the mood »: http://inthemoodlemag.com , http://inthemoodforfilmfestivals.com, http://www.inthemoodfordeauville.com , http://www.inthemoodforcinema.com , http://www.inthemoodforcannes.com , http://www.inthemoodforluxe.com .

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Sandra Mézière

Blogueuse et romancière. Diplômée en droit, sciences politiques, médiation culturelle (mémoire sur le cinéma avec mention TB) et d'un Master 2 professionnel de cinéma. 15 fois membre de jurys de festivals de cinéma (dont 10 sur concours d'écriture). 22 ans de pérégrinations festivalières. Blogueuse depuis 14 ans. Je me consacre aujourd'hui à ma passion, viscérale, pour le cinéma et l'écriture par l'écriture de 7 blogs/sites que j'ai créés ( Inthemoodforfilmfestivals.com, Inthemoodforcinema.com, Inthemoodfordeauville.com, Inthemoodforcannes.com, Inthemoodforhotelsdeluxe.com, Inthemoodforluxe.com... ), de romans, de scénarii et de nouvelles. en avril 2016, a été publié mon premier roman au cœur des festivals de cinéma, aux Editions du 38: "L'amor dans l'âme" et en septembre 2016, chez le même éditeur, mon recueil de 16 nouvelles sur les festivals de cinéma "Les illusions parallèles". Pour en savoir plus sur mon parcours, mes projets, les objectifs de ce site, rendez-vous sur cette page : http://inthemoodforfilmfestivals.com/about/ et pour la couverture presse sur celle-ci : http://inthemoodforfilmfestivals.com/dans-les-medias/ . Je travaille aussi ponctuellement pour d'autres médias (Clap, Journal de l'ENA, As you like magazine etc) et je cherche également toujours à partager ma passion sur d'autres médias. Pour toute demande (presse, contact etc) vous pouvez me contacter à : sandrameziere@gmail.com ou via twitter (@moodforcinema, mon compte principal: 5400 abonnés ). Vous pouvez aussi me suivre sur instagram (@sandra_meziere).

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